C3Medical construit des ponts vers l'Asie Centrale pour améliorer la qualité des soins dans la région

C3Medical a participé à la pose de la première pierre à l’édifice de beaux partenariats entre des hôpitaux français et kazakhstanais.

Notre conviction : améliorer les compétences des professionnels de santé locaux contribuera à l’amélioration de la qualité des soins proposés aux patients et ouvrira des opportunités de développement aux structures (établissements ou industriels) en France qui sauront s’engager.

Voyager en ces temps de crise sanitaire est exceptionnel. Alors, chez C3Medical nous sommes d’autant plus ravis d’avoir pu participer à une mission exceptionnelle promue par les ambassades de France au Kazakhstan et du Kazakhstan en France.

Ce projet est une première pierre à l’édifice de beaux partenariats en perspective dans le cadre du programme de coopération financé par le FSPI*.

Notre objectif est double :

  • Valoriser l’expertise et l’innovation françaises en matière de santé en Asie Centrale.
  • Aider à l’amélioration des soins dans les pays dans lesquels les systèmes et les structures de santé ne permettent pas encore de répondre à tous les besoins des patients.

Au cours de ce voyage passionnant, nous avons pu rencontrer les directions médicales des sept principales structures de soins des deux villes principales, Nour Soultan et Almaty.

Nos échanges avec le Vice-Ministre de la Santé du Kazakhstan et les responsables du Fonds National Santé (sécurité sociale) Kazakhstanais ont été riches en enseignements.

Fort de la présence de l’Institut Curie, notre partenaire en Oncologie, nous avons pu écouter leurs différents besoins exprimés autour de coopérations médicales, dans les domaines de la formation, du conseil et des soins.

Ce voyage a été l’occasion rêvée  pour faire la promotion d’autres spécialités et établissements Français de référence avec lesquels nous travaillons.

La République du Kazakhstan est déjà proactive sur des investissements déjà réalisés et planifiés dans la santé.

Nos interlocuteurs ont tout de même montré un fort intérêt pour la mise en place de coopérations dans les domaines suivants :

  • Le dépistage de certains cancers,
  • L’oncologie pédiatrique,
  • La détection des cancers,
  • Les analyses tumorales (histologique, anatomopathologiques et génétiques),
  • Les soins palliatifs,
  • Les soins de pointe en gastro-entérologie, cardiologie, urologie et en neurochirurgie favorisant l’ambulatoire et le mini-invasif.

Quelle est la prochaine étape ?

Consolider ces contacts à haut niveau avec des actions concrètes permettant un transfert de compétences et un partage de bonnes pratiques.

Nous y arriverons grâce au développement de relations entre les structures et les professionnels de santé des deux pays.

Concrètement, des « masterclass », des formations en lignes et des échanges (stagiaires) sur les sujets prioritaires ont déjà été validés sur le principe.

Nous sommes allés plus loin, avec la mise en place de discussions régulières sur des cas patients compliqués pour lesquels un partage entre équipes françaises et kazakhstanaises peut permettre de fiabiliser les diagnostics et les protocoles.

L’idée est toujours d’améliorer la qualité des soins proposés aux patients et les compétences des professionnels de santé.